le 13 juil. 2023
Delon pas drôle
Quand on consulte la filmographie d'Alain Delon, on y trouve finalement très peu de comédies. Et on comprend facilement pourquoi en visionnant ce film. Tout sonne faux et outrancier dans le jeu de...
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Le film vient comme un cheveu sur la soupe dans les carrières d'Alain Delon er de Jacques Deray. Pensez donc, une comédie loufoque, genre étranger aux deux complices, avec l'aide de Pascal Jardin qui s'efforce de s'audiardiser dans des dialogues aussi extravagants que la situation de départ. Il y a un plaisir coupable à voir ce Mon curé chez les Bigoudènes, ne serait-ce que parce qu'il est unanimement voué aux flammes de l'enfer du navet. Ce qu'il n'est pas, si l'on considère le troisième degré (au moins) de la chose avec un Delon en roue libre, qui n'est pas si mauvais, et de joyeux lurons tels que Paul Meurisse, Julien Guiomar ou Paul Préboist. Au demeurant quelque peu misogyne et anti-clérical, Doucement les basses aborde avec aplomb la question récurrente du mariage des prêtres. Et un film où l'on évoque César Borgia et où l'on cite Confucius, sans oublier le clin d’œil à Drôle de drame, ne saurait être totalement raté.
Créée
le 15 juil. 2024
Critique lue 238 fois
le 13 juil. 2023
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