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S'agite et se pavane
(...) Habilement charpentée, cette virée vers la solitude de grands illuminés fait fermenter une grande partie des obsessions du Maître Bergman. Il y a d'abord, en grand, la dévotion du Suédois...
Par
le 18 août 2011
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En présence d'un clown par youli
Des thèmes qui étaient très alléchants, pour se retrouver devant un film à l'esthétique de sitcom (quand un téléfilm se fait avec une caméra si mauvaise, le passage sur grand écran est éprouvant pour les yeux).
Le film est surtout impossible à suivre, entre l'incompréhension de dialogues abracadabrantesques et la fatigue due à un récit mené comme un pet (pour rester dans les thématiques du film) d'octogénaire illuminé (comme son personnage principal, qui croit inventer le cinéma parlant en 1925 alors que des dizaines de cas similaires au sien existaient bien avant).
Restent quelques moments plutôt cocasses et, évidemment, Schubert.
Le film est surtout impossible à suivre, entre l'incompréhension de dialogues abracadabrantesques et la fatigue due à un récit mené comme un pet (pour rester dans les thématiques du film) d'octogénaire illuminé (comme son personnage principal, qui croit inventer le cinéma parlant en 1925 alors que des dizaines de cas similaires au sien existaient bien avant).
Restent quelques moments plutôt cocasses et, évidemment, Schubert.
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le 24 avr. 2011
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