À regarder ce film, on passe Entre Ses Mains
a) du Boucher du village dans le film de Chabrol au chirurgien pour fauves dans une grande ville
b) du whodunit basique à l’excellent « Revenge » de la série Hitchcock Presents où Vera Miles répète à son mari « That’s him » sauf qu’ici on lui met, pendant presque toute la durée du film, un point d’interrogation , autrement dit
c) pas mal de temps à se demander si c’est lui ou pas lui.
Avec Isabelle, c’est Carré au départ et puis de moins en moins, à commencer par le fait de lui rendre visite avec sa petite fille (à elle, Isabelle).
Avec Benoit et son « physique de coureur cycliste », ça l’est rarement même avec sa maman, un court instant qui me fait penser à la mère de Desailly dans Maigret Tend Un Piège de Delannoy.
Avec Anne, c’est bien comme très souvent.
Mais même si sur Fontaine, je ne taris pas d’éloges, mon inspiration, elle, s’arrête là, et ma critique aussi.
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Non ce n'est pas trop calme, trop plat, trop lent. C'est prenant, c'est intérieur, c'est même un peu dérangeant! Poelvoorde que je n'apprécie guère d'habitude dans son jeu surfait m'a vraiment...
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le 21 janv. 2011
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Voir le p'tit Quinquin et le bercer....Une rencontre Isabelle Carré -Poelvoorde : voilà une affiche qui ne pouvait qu'aiguiser mon appétit. Anne Fontaine a su satisfaire ma soif de découverte en...
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le 9 sept. 2025
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Un film intéressant, estimable a tout point de vue. La mise en scène d'Anne Fontaine est bonne, et l'atmosphère pesante bien rendue. Toutefois, le film manque d'originalité au niveau du scénario, car...
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le 20 oct. 2017
3 j'aime
Pardon pour le caractère sans doute empathique du titre de cette critique.Mais tant d’images de L’Envol sont à elles seules une œuvre d’art que j’ai trouvé celui-là et que je l’ai gardé.Il y a aussi...
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le 19 oct. 2025
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Sur un sujet banal…en général, un film original puis qu’il finit devant un distributeur de la Société…Générale. Mais je ne vous dirai pas s’il finit bien ou bien mal. Je vous dirai seulement que...
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le 16 oct. 2025
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Ne manquant pas d’immodestie, je ne suis pas peu fier du calembour que j’ai donné comme titre à cette critique et je l’explique : le cinéma ou le « ciné » doit fasciner ou il n’existe pas. Et ce...
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le 2 oct. 2025
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