Ernest et Célestine fait partie de ces quelques mignonneries belges destinée aux petits sans pour autant les prendre pour des idiots.
Suite au succès du premier film d'animation adapté de l'univers créé par Gabrielle Vincent, il était évident qu'un nouveau long-métrage finirait par voir le jour.
Cette suite est moins marquante que le premier volet mais demeure réussie. La mise en scène est moins inspirée, mais l'histoire est jolie et on passe un bon moment. J'aime bien l'idée de partir d'une seule note de musique autorisée dans un endroit et d'en faire quelque chose sur la liberté d'un peuple et le rapport à l'autorité aussi. C'est une aventure annexe pour nos deux compères en termes d'enjeux, mais le message me plait et c'est joliment fait, sans faire d'étincelles pour autant.