Gemma Bovery par JibeCarre
J'avoue que la perspective de voir un film faisant le parallèle avec l'oeuvre de Flaubert me titillait.
Et puis, au bout d'un moment, je me suis souvenu que je n'avais jamais fini l'oeuvre de Flaubert.
Finalement, j'ai compris pourquoi.
Putain c'que c'est lent...
Mais si le film m'a agacé, pourquoi attribuer cette note, me direz-vous ?
Eh bien parce qu'au milieu du scénario, il reste Luchini et Arterton. Le film nous présente une Normandie dont le portrait est brossé... aux petits oignons que je vous dis. Le duo Luchini et Arterton se montre exceptionnel. Lui, à lui courir après. Elle, à tomber sous le charme des autres. Lui, qui ne voit que le parallèle avec Emma Bovary. Elle, qui le prend pour un fou. Le tout, dans cette petite campagne normande.
Tout cela me laisserait bien songeur et rêveur, mais dans l'immédiat, il se fait tard, je vais me coucher.
Chers lecteurs, bonsoir.