Happiness Therapy par cityhunternicky

Happiness Therapy nous parle de la réinsertion dans la société d’un homme bipolaire.

C’est très dur d’aimer un film qui commence par des cris et des faits si peu intéressants ou pertinents. La folie de Bradley Cooper m’a complètement laissé indifférent, d’autant plus que ni lui, ni ses parents n’arrivent à l’améliorer en la rendant plus supportable pour le spectateur. Heureusement, elle s’arrête pas trop longtemps après le début, et on rentre alors complètement dans une comédie romantique tout ce qu’il y a de plus classique et de plus prévisible.

J’ai aussi été assez déçu par les acteurs. Robert De Niro n’a pas un rôle ridicule, mais il n’est tout de même pas mémorable et il n’a pas réussi à me toucher. Bradley Cooper souffre d’un rôle pas attachant et pas captivant non plus, tout comme Jennifer Lawrence qui ne s’en sortira que parce qu’elle exploite son physique à son maximum. Difficile alors de rentrer dans les délires prévisibles de ces deux là, qui ont leur dose de cris également…

J’aimerai tout de même sauver la danse finale. Ce fut le seul point d’intérêt du film pour ma part, et c’était très agréable à voir ! C’est d’ailleurs la seule scène du film où j’ai remarqué la musique, même si toutes les chansons furent oubliées en deux minutes. Un peu dur pour deux heures longues que je ne recommanderai pas, même au coin du feu, tant il n’y a quasiment rien à tirer de ce film, à peine un bon moment.

Happiness Therapy n’a que Jennifer Lawrence et une danse pour sauver ces personnages pas attachants et cette histoire téléphonée et bancale.