le 22 juil. 2018
Je veux voir (et filmer).
Ce titre « Irak année zéro » évoque d’emblée forcément le grand film de Roberto Rossellini. Il s’agit là aussi de l’errance d’un enfant-guide au milieu des ruines. « Bagdad ville ouverte » aurait...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Il y a des fictions qui prennent tout leur sens avec une fin choc, a priori on n'envisage pas que ce soit le cas aussi de documentaires, eh bien pourtant, si, c'est le cas ici.
Comme il a déjà été dit, cette deuxième partie est assez différente de la première, et se laisse regarder sans jamais surveiller sa montre. Le cinéaste rencontre plus de gens, les langues se délient sur Saddam notamment, il va dans plusieurs village etc.
Et puis il y a cette fin! T_T
Je me disais que ça pouvait très mal finir, avec genre une pancarte "tous les petits enfants souriants que vous avez vus dans ce film sont désormais du côté de l'EI, combattant kurdes, chiites et alaouites au nom d'Allah (version Sunna des premiers Califes) et de leur Irak perdue". On n'en est pas loin ici! Et finalement on comprend la longueur et les nombreux plans répétitifs de la première partie centrés sur sa famille. Pauvre petit Haidar T_T
On apprécie du coup l'aspect si brut, si neutre de la forme. (Il y a même des sbires américains plutôt sympathiques (assez victimes eux aussi au final)).
Bien content de l'avoir vu au ciné (et en deux fois), jamais j'aurais regardé ça chez moi en entier (ou à vitesse normale).
On oubliera pas Haidar et ses cousins! Que justice soit faite un jour !! >_<
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Créée
le 25 févr. 2016
Critique lue 315 fois
le 22 juil. 2018
Ce titre « Irak année zéro » évoque d’emblée forcément le grand film de Roberto Rossellini. Il s’agit là aussi de l’errance d’un enfant-guide au milieu des ruines. « Bagdad ville ouverte » aurait...
le 25 févr. 2016
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le 3 juil. 2022
Un point de vue plus qu'indispensable : nécessaire!
le 21 févr. 2016
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le 7 mars 2016
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