Un père veuf s'inquiète pour sa fille aînée dont le mari est un Don Juan impénitent. Quant à sa cadette, elle ne supporte pas le collège ni les infortunes de sa soeur. Elle s'enfuient chez un avocat. Tout commence et se termine par des chansons dans cette charmante comédie farfelue destinée à un public italien qui avait bien besoin de sourire. La musique est de Nino Rota (un de ses thèmes sera repris dans Le guépard). On commence à se rendre compte de l'importance de Matarazzo dans le cinéma italien, pour ses comédies des années 30 et 40, irrésistibles, et ses mélodrames à partir de 1950.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 30 août 2019

Critique lue 78 fois

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 78 fois

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

76 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

75 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13