It’s Such A Beautiful Day par _ni_
Qaund Don Hertzfeldt rencontre Chris Ware.
Ca pourrait être détonnant, mais c'est soporifique. Le rythme oscille toujours entre drôlerie sarcastique et absurde, moment de deprime, et instants de grand silence. Si le film arrive a trouver de vrais séquences de poésie, il souffre dans sa longueur.
Là où une BD de Ware peut se fermer pour continuer la lecture plus tard, par soucis de conservation personnel, pour ne pas tomber trop vite dans un spleen irrémédiable, le film de Hertzfeldt se subi jusqu'à la fin.
Un dure moment.