Le constat ordinaire
Parmi les films-épreuve soumis au cinéphile, Jeanne Dielman occupe une place de choix. Ce premier film de la belge Chantal Ackerman, alors à peine âgée de 25 ans en 1976, prend en effet le parti de...
le 19 mai 2020
58 j'aime
4
Bon les mecs, on a pu apprécier un tas de bons films qui se déroulent dans la lenteur, mais là, faut pas pousser Mémé. On croirait à une vidéo performance quand on fait une expo: il ne se passe rien et on se demande si on doit attendre quelque chose, ou simplement se casser. Vous n'avez qu'à vous fier au titre, il est tout à fait à l'image du film: pas de sens et trop long.
Créée
le 24 août 2015
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Parmi les films-épreuve soumis au cinéphile, Jeanne Dielman occupe une place de choix. Ce premier film de la belge Chantal Ackerman, alors à peine âgée de 25 ans en 1976, prend en effet le parti de...
le 19 mai 2020
58 j'aime
4
L’an dernier, c’est La Maman et la Putain qui ressortait dans les salles, cette année c’est au tour de Jeanne Dielman, que je n’avais jamais vu sur grand écran. Deux films évidemment très différents,...
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le 7 mai 2023
56 j'aime
10
J'aime beaucoup le cinéma de Chantal Akerman et ce film ne déroge pas à la règle. Il est la preuve que l'on peut faire du cinéma « militant » (ici féministe) sans tomber dans le pathos, le tire-larme...
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le 4 juin 2018
38 j'aime
La recette de ce bon vieux Papy pervers: des acteurs à la mode, du jazz en fond, une intrigue bien plate, de la romance, des juifs caricaturés. Qu'est-ce que ce film fichait à Cannes, on se le...
le 20 sept. 2016
1 j'aime
Je me dois de mettre une note pour remonter la moyenne de cette pépite. On ose parler de comédie américaine ? Mes oreilles saignent, Napoléon Dynamite est d'un genre à part, c'est esthétique, hyper...
le 24 août 2015
1 j'aime
Je m'attendais à une bouse, parce que soyons honnête, la bande annonce ne fait pas rêver, et au bout de quelques minutes, que vois-je? C'est drôle ! Bon le scénario est un peu confus, mais il y a une...
le 7 juin 2017