Trainé par mon fils au cinéma pour voir le dernier opus de la saga Jurassic World au cinéma sous le pretexte que c’est son anniversaire. Me rappelant le mauvais moment passé devant le premier et le cauchemar Fallen Kingdom, j’y allais à reculons mais heureux de faire plaisir au fiston et de filer du pognon au MK2 du coin (et vu sa fréquentation il en a bien besoin).
Alors c’est peut-être que le plaisir de mon fils est communicatif mais j’ai apprécié. J’ai trouvé que ce film post COVID19 avait une lecture cynique et réaliste de la mainmise des entreprises pharmaceutiques sur notre monde.
J’ai apprécié le retour des anciens de Jurassic Park, dans des rôles qui à mon sens dépassent le fan service : Le petit côté Indiana Jones de Sam Neil et son chapeau, la classe hallucinante de Jeff Goldblum, la présence de Laura Dern. Ces anciens ramènent un nouveau souffle épique au film, leurs présences avaient manqués aux films précédents.
Omar Sy a un trop petit rôle à mon avis.
Je ne peux dire du mal de Bryce Dallas Howard depuis que j’ai vu ses épisodes de the Mandalorian, on ne dit pas de mal de ses idoles. Chris Pratt est égal à lui-même, charmeur et amusant et j’ai été littéralement envouté par les yeux de DeWanda Rise.
Le film ne manque pas d’actions ni de courses poursuites. Une scène western bien que belle est un peu ridicule. Pourquoi Owen promène un troupeau de dinos ? Ils les mangent ? Pas bête !
Il y a plein de dinosaures de tous genre et selon mon fils, paléontologue en herbe comme beaucoup de gosses de son âge, ils n’ont pas eu besoin d’inventer de nouveaux dinosaures à l’image de l’Indominus Rex. Il y a même des dinosaures à plumes ce qui montre que la production suit l’actualité paléontologiste.
J’ai souris à la fin devant la tête du T. Rex passant sa tête devant la porte lune recréant le logo inoubliable de Jurassic Park.
Pas inoubliable, un bon moment avec mon fils mais je préfère toujours Jurassic World : La Colo du Crétacé.