Cher Journal,
Cher Journal, Les vacances ne se passent pas vraiment comme prévu. Avec Papa Andrew et Papa Eric, on était arrivés dans notre chalet qui fait peur au milieu des bois, et je jouais comme il se doit...
le 6 févr. 2023
53 j'aime
5
Critique rédigée en Février 2023.
Shyamalan nous sert une nouvelle fois un plat bien fade. Un scénario trop simpliste, une esthétique trop épurée, bref, peu de choses à se mettre sous la dent. Le principe initial avait pourtant de quoi séduire en plaçant le spectateur face à une question "existentielle" : sommes nous capables de tuer l'un des nôtres pour sauver ceux que l'on ne connaît pas ? Malheureusement, le film n'exploite pas assez les doutes. Toute réflexion est annihilée par le refus catégorique des personnages et le dénouement trop "facile". On passe des deux extrêmes sans réellement rentrer dans la réflexion, précipitée par l'urgence de la situation certes mais qui aurait pu avoir cette qualité de présenter une complexité psychologique face à cette dernière. Même le jeu autour du possible mensonge des quatre arrivants n'a pas d'épaisseur, n'est pas assez exploité. Le propos reste de fait assez pauvre, très en surface malgré certains acteurs qui jouent franchement bien. Quand est-ce que Shyamalan nous resservira des films tel que " Sixième sens" ou "The Visit" ?
Créée
le 28 sept. 2025
Critique lue 5 fois
1 j'aime
Cher Journal, Les vacances ne se passent pas vraiment comme prévu. Avec Papa Andrew et Papa Eric, on était arrivés dans notre chalet qui fait peur au milieu des bois, et je jouais comme il se doit...
le 6 févr. 2023
53 j'aime
5
La parabole inconsciente de Knock at the Cabin est des plus transparentes : car si M. Night Shyamalan met en scène la carrure toujours aussi imposante de Dave Bautista à l'écran, c'est lui, en...
le 2 févr. 2023
48 j'aime
9
J'avoue chercher l'intérêt de ce film. S'il débute plutôt bien, avec un Dave Bautista dont ne connait pas réellement les intentions et qui semble être trop doux pour réellement vouloir du mal à cette...
Par
le 23 févr. 2023
31 j'aime
1
"Perfidia's one goodbye" - Phyllis Dillon 1967 - Perfidia has won goodbye
Par
le 28 sept. 2025
1 j'aime
Critique rédigée en Février 2023. Shyamalan nous sert une nouvelle fois un plat bien fade. Un scénario trop simpliste, une esthétique trop épurée, bref, peu de choses à se mettre sous la dent. Le...
Par
le 28 sept. 2025
1 j'aime