Un navet avec beaucoup, beaucoup de moyens. Mais un navet quand même.


Dites-vous bien, à un moment, le héros se bat avec un sabre et un masque à gaz contre des mini ptérodactyles. Exemple de ridicule parmi d'autres. Ou encore une scène de tire avec la caméra à la première personne, chose que j'avais vu uniquement dans Doom (autre chef d'oeuvre).


TOUS les personnages sont stéréotypé : le badass qu'a tout vu, la bimbo journaliste, le couple de minorités un peu geek (un black et une asiat'), le soldat black qui fait tout le temps des blagues et qui fonctionne en duo avec le soldat qui prend sa mission très au sérieux, et Samuel Jackson (qui est le stéréotype de Samuel Jackson). Mention spéciale à la nana (oui, il y a un rôle qui peut être qualifier de "la nana") : on dirait une actrice à qui on aurait demandé explicitement, dès le début, de jouer la bimbo. Un tel zèle dans la vacuité du regard, ça se trouve rarement.
Les histoires et personnalités des personnages sont anecdotiques, on y fait allusion dans de rares scènes excessivement mal jouée (cette fois, la mention spéciale va au badass avec son histoire de père part se battre contre les nazis et lui envoi son zippo depuis le train. Dieu merci, ils nous épargnent les images.)


Dommage, l'affiche "Apocalypse Now" était vraiment racoleuse.

Angela_du94
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le 20 mars 2017

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Angela_du94

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