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La méthode.
Au lendemain de la seconde guerre mondiale et après avoir travaillé pour les autres, Jacques Tati revient à son propre univers et met en scène cette "Ecole des facteurs", se réservant bien entendu le...
Par
le 18 mars 2014
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La DanSe fUnaMbULeSque du FaCtEuR
Après la victoire de 1945, trois facteurs ruraux s'exercent à une tournée "à l'américaine". Finies les promenades nonchalantes, les discussions inopinées nécessitant des arrêts aux bistrots.. Il faut être efficace, gagner du temps, filer comme le vent pour assurer la liaison avec l'avion postal.
Pour "Jour de fête", Jacques TATI reprend en grande partie les gags de ce court métrage de 15 minutes. Certains sont hilarants, comme l'échappée du vélo en solitaire, la danse au bistrot, le branle de la cloche dans l'église ou la remontée des coureurs cyclistes.
Quand une bicyclette devient acteur véritable, comme le facteur lui-même, toutes les poésies sont possibles.
Dès que François s'élance à corps perdu sur les routes, les dialogues deviennent des borborygmes, voire des gazouillis. L'expression directe passe par la silhouette, la gestuelle, les bugs physiques. François garde son équilibre à bicyclette par miracle, grâce à sa danse funambulesque, où légèreté et vitesse touchent à l'extase.
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Créée
le 22 mars 2017
Critique lue 284 fois
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La DanSe fUnaMbULeSque du FaCtEuR
Après la victoire de 1945, trois facteurs ruraux s'exercent à une tournée "à l'américaine". Finies les promenades nonchalantes, les discussions inopinées nécessitant des arrêts aux bistrots.. Il faut...
le 22 mars 2017
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Critique de L'École des facteurs par constancepillerault
Ce court métrage est une sorte d'ébauche de Jour de Fête. On y voit déjà François le facteur, dans ses tentatives de tournée "à l'américaine" . C'est émaillé de gags, avec des moments vraiment...
le 8 sept. 2019
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