J'y vais j'y vais pas
J'y vais, j'y vais pas est un peu le tempo du film qui s'égare dans son intrigue, entre quiproquos et violence carcérale. Pascal Greggory vous entraînera avec lui si vous vous laissez séduire par ses...
le 2 mars 2018
2 j'aime
Un film intelligent qui reste très constant dans ces qualités,c'est à dire qu'il n'y a pas de mauvaises scènes,mais pas non plus des scènes mémorables. La qualité du flm repose sur ces acteurs et actrices,sur ces dialogues et sur l'atmosphère particulière du film,qui montre les doutes,et les envies et l'évolution des hommes. Bref un beau film honnête d'Ilan Duran Cohen.
Créée
le 15 mai 2021
Critique lue 55 fois
J'y vais, j'y vais pas est un peu le tempo du film qui s'égare dans son intrigue, entre quiproquos et violence carcérale. Pascal Greggory vous entraînera avec lui si vous vous laissez séduire par ses...
le 2 mars 2018
2 j'aime
On ne badine pas avec l’amour ? Las ! Alain, la quarantaine fringante, ne semble pas avoir compris la célèbre maxime de De Musset, persistant à virevolter parmi ses amant(e)s avec une conviction...
Par
le 27 nov. 2012
1 j'aime
Un film intelligent qui reste très constant dans ces qualités,c'est à dire qu'il n'y a pas de mauvaises scènes,mais pas non plus des scènes mémorables. La qualité du flm repose sur ces acteurs et...
Par
le 15 mai 2021
Nous voici plongé dans la tête de Daniel Johnston, ou plutôt dans la tête de Daniel Johnston et du diable. Johnston chanteur de lo-fi (un des fondateurs) est bipolaire. Et cela entraine chez lui des...
Par
le 17 sept. 2022
5 j'aime
Un film réussit, c'est avant tout un film qui a quelque chose à raconter. Le soucis avec ce "cœur de tonnerre" c'est justement qu'il n'a rien à raconter. Car le fait de rependre un élément historique...
Par
le 23 févr. 2020
4 j'aime
4
Les 10 premières minutes du film commencent un chef d’œuvre, on est dans une prison, au trou, l'univers est poisseux, mais en parallèle porté par une musique que l'on pourrait qualifié de...
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime