La forme de l'eau où la romance de 3ieme type n'a suscité qu'un "mouais" à la fin du visionnage.
Une esseulée rêvant au prince au charmant, finit par le trouver en passant la serpillère. Ce n'est pas Cendrillon mais presque.
Si on ajoute à cela un recyclage du prince qui semble s'être échappé d'Hell Boy, Guillermo Del Toro nous escroque en nous vendant du neuf alors que ce n'est qu'une énième variante d'un conte de fée avec tous ses stéréotypes et ses clichés.
Les décors et les jeux de lumières sont splendides, l'immersion dans cet univers est magnifiquement amenée dans les premières minutes du film et paradoxalement, cela ne fait que souligner le côté factice de l'ensemble, trop propre, trop net pour être vrai, trop tout pour y croire tout simplement.
La forme de l'eau, mouais.
PS: merci SensCritique pour les places de cinéma, 1ière fois que j'en gagnais sur votre site, j'espère que ce ne sera pas la dernière.