[...] j’ai en permanence cette impression que Chazelle me tient chimiquement en vie. Tout intérêt pour l’histoire se perd à la suite d’une grotesque scène de dispute lors d’un dîner mal scénarisé et mis en scène. Il semble même que la scène est tournée, sans aucun changement d’éclairage, à la suite de la performance des deux acteurs sur la chanson « City of stars ». Le subterfuge est, de fait, remarquable. Cela donne un effet cheap mésadapté à un tel film. Les illuminations, comme la séquence du dernier casting d’Emma Stone, avant qu’elle parte sur Paris, se font beaucoup trop rare. Mais le véritable problème esthétique que pose le film me vient d’une simple impression [...]
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