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Après un début brillant, le film nous perd volontairement à travers le passé, le cauchemar, on ne comprend plus rien. On essaye de se rattacher à des détails, les cheveux d’Helena et de Marta, les décors… Mais en vain, on finit perdu, comme le personnage principal, qui finit par disparaître du cadre après l’avoir si bien hanté.
Somptueux, techniquement, avec une photographie terne, froide, bleutée, que l’on retrouvera plus tard dans Possession, le film impressionne aussi par sa mise en scène de fou, notamment lors de la course-poursuite vue des toits. Pour un premier film, c’est très impressionnant.
Mon désamour pour l’outrance vulgaire habituelle de Żuławski est totalement absent ici. Le film est assez doux, dans le jeu des acteurs, malgré les atrocités montrées à l’écran (même si le traitement des poux reste un peu sage). Il n’y a qu’une scène de folie de Marta, mais pour le coup, elle est mieux jouée que dans toute la filmographie de Żuławski.
Małgorzata Braunek imprime chaque scène, on se retrouve obsédé par son visage, comme le personnage principal. Bref, si les monosourcils ne vous dérangent pas trop (il m’a personnellement fallu un temps d’adaptation), tentez l’expérience.
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Créée
le 28 oct. 2025
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