On a l'habitude chez Klapisch, ça y va avec des gros sabots, et on ne tire pas grand chose de très poussé de ce dialogue entre passé et présent. Mais il a une telle foi en son récit et ses acteurices qu'on est emporté, et alors que l'époque est au recroquevillement rance, faire le pari de la joie et de la rencontre (même si c'est niais, même si la subtilité se fait la malle) reste un acte de cinéaste éminemment politique.

Asoliloque
8
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le 1 oct. 2025

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Asoliloque

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