Au risque d’être targué de transphobe, cela me dérange quelque peu cette glorification de ce mal-être qui plus est qui requiert une intervention chirurgicale pas bénigne. La part de négativité est apportée par Frédérique (fait assez rare, iel est hétérosexuel), la combativité avec laquelle elle fait face est admirable mais déborde lors de la scène au restaurant. Moi, misérable cisgenre, que dois-je penser d’une telle éloge ? Éloge, car iel apparaît heureux, cette envie de changer de sexe n’est qu’une illusion qui cache un mal plus profond. Néanmoins, cette scène fait essentiellement de regards désapprobateurs quand alors professeur, il se travestit, est percutante.