Un gros fermier qui terrorise ses voisins avec l'aide d'un homme de main. Un seul résiste (Randolph Scott, égal à lui-même), partagé entre deux femmes, dont celle qui vient d'épouser son ennemi. Pas très original ce western, on en conviendra. Deux ou trois scènes marquantes, comme souvent avec de Toth en lien avec les éléments naturels (neige et vent) corsent heureusement l'affaire. Splendide technicolor, par ailleurs.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 31 juil. 2019

Critique lue 122 fois

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 122 fois

D'autres avis sur Le Cavalier de la mort

Le Cavalier de la mort
zardoz6704
8

Things are warm here.

Oui, je sais. C'est le conflit traditionnel entre le cowboy poussiéreux et buriné qui s'est mis à son compte et le gros éleveur coincé, aux tendances homicides refoulées, qui lui envie sa virilité...

le 13 juin 2013

4 j'aime

Le Cavalier de la mort
Boubakar
6

L'argent ne fait pas le bonheur.

Ce que j'aime dans ces westerns des années 1950, qui ont été produits à la chaine, c'est qu'ils sont simples, pas dans un sens péjoratif, mais qui sont sans fioritures. Un propriétaire de ranch voit...

le 30 avr. 2020

3 j'aime

Le Cavalier de la mort
YgorParizel
7

Critique de Le Cavalier de la mort par Ygor Parizel

Western de André De Toth qui malgré des moyens réduits fait plutôt bien illusion. On a l'impression de débarquer au beau milieu de l'histoire en début de film, avec ce propriétaire s'accaparant déjà...

le 28 juil. 2023

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

76 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

75 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13