Maintenant je me demande bien pourquoi je ne l’avais pas vu avant.
Chef d’œuvre orchestré à la perfection dans son ensemble : costumes, casting, couleurs, détails, dialogues, bande son et j’en passe.
Sur le papier? pitch SF loufoque, manichéen à outrance et pittoresque à en crever.
A l’écran ? D’un pure génie de A à W.
Comme quoi Besson, d’un coup de caméra, a relevé le défi de passer entre les mailles de l’impossible opéra du nanar à deux sous pour nous pondre une jolie merveille aux tons orange et bleu signé JPG.
La claque de l’espace si je puis dire