le 13 déc. 2022
Le passé revient toujours
Après après défiguré une patiente après une opération ratée, un chirurgien esthétique anglais prend la fuite vers la France où il se réfugie dans un cirque. De fils en aiguille, après avoir sauvé la...
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Un petit film sympathique représentatif du dynamisme et de la qualité du cinéma britannique des années 60, à l'heure où les trublions de la Hammer redéfinissaient les règles de l'horreur sur grand écran. Produit par une petite compagnie concurrente spécialisée dans les séries B à faible budget, ce Cirque des Horreurs, magnifiquement photographié par le maestro Douglas Slocombe, se laisse voir avec plaisir même si son scénario accumule les invraisemblances et que les cicatrices maquillées à la truelle suscitent plus le sourire que l'effroi. Mais les nombreux numéros d'acrobatie sont bien filmés et les actrices suffisamment engageantes pour retenir l’attention durant une heure et demie et font oublier une intrigue trop répétitive après un démarrage sur les chapeaux de roue. Anton Diffring, habitué aux rôles d'officier nazi (on se souvient de lui face à Kirk Douglas dans Les héros de Telemark) est excellent dans la peau d'un chirurgien esthétique au génie malfaisant et à l'égo surdimensionné devenu directeur de cirque pour échapper à la justice. On remarquera aussi la présence d'un jeune Donald Pleasance ainsi que celle de la très belle Yvonne Monlaur, une actrice française qui tournera la même année dans Les maîtresses de Dracula, sous la direction de Terence Fisher.
Créée
le 24 oct. 2023
Critique lue 22 fois
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