Ruspoli capture un moment de vérité suspendu au prélude d'un traitement pour la seconde rechute d'un alcoolique dont la résilience après une vie violente se mesure en bouteilles de vin. Le médecin, jamais paternaliste, semble profondément empathique envers son patient.
Deux moments qui conjurent la tristesse ambiante : la liste des traditionnelles beuveries françaises au cours d'une vie, la reprise au saxophone des « Fiancés d'Auvergne » de Verchuren sous le regard dubitatif d'une voisine.
Voir Bordeaux à cette époque est une expérience aussi intéressante qu'étrange pour quelqu'un qui, comme moi, y a vécu.
Mario Ruspoli forever!