le 13 juin 2018
Umour et bandessinées
Gilles Lellouche. S’il fallait faire un portrait de ce type, celui-ci commencerait pour moi par son rôle de gros beauf dans Mon Idole, où on le voyait, le temps de quelques secondes, expliquer d’un...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Gilles Lelouche arrive à capter un véritable mal être chez les quarantenaires. Qu’iels soient hommes et femmes, que leurs histoires soient différentes et qu’iels n’appartiennent pas à la même classe sociale. Le réalisateur, prends le temps de nous trouver un attachement, de nous expliquer pourquoi il sont dans le mal, sans tomber dans le piège du pathos. Ces personnes avaient des rêves, mais, en réalité, ce sont des loosers qui ont perdu une énergie, qui n’ont plus d’espoir. Comme si le début de la vieillesse les anéantissait.
Mais une nouvelle énergie se trouve à la recherche d’une expérience collective, de nouvelles sensations. De trouver un sens face à tout cela. Comment trouver la lumière quand rien ne semble positif. Le film « Le grand bain » ne met pas en évidence la grâce de la natation synchronisée masculine, mais plutôt les avantages de l’activité physique et de l’engagement commun envers un objectif partagé.
Ces grands perdants pourraient ne pas changer, mais une lueur d’espoir est apparue. Ce rêve de participer aux championnats du monde les a unis, leur offrant une soirée de succès retentissants. Cette union d’une partie de la comédie française en fait un film fédérateur, un long-métrage agréable qui manie des moments de tendresse, de la tristesse, de la bonne humeur et beaucoup de rigolade.
Le Grand Bain nous offre aussi l’occasion de vivre une belle expérience collective.
Créée
le 18 mai 2025
Critique lue 10 fois
le 13 juin 2018
Gilles Lellouche. S’il fallait faire un portrait de ce type, celui-ci commencerait pour moi par son rôle de gros beauf dans Mon Idole, où on le voyait, le temps de quelques secondes, expliquer d’un...
le 28 oct. 2018
Je suis allé voir le Grand bain malgré l’agacement procuré par un enthousiasme général douteux. Le film correspond en partie à ce qu’on pouvait attendre, soit une comédie moins intéressée par les...
le 3 nov. 2018
Il est des séances quelque peu exceptionnelles. Semblables à de l’eau bénite, pour ainsi dire. Non parce qu'elles révolutionnent le Cinéma ou en renforcent l’édifice, mais bien parce qu'elles...
le 1 juin 2023
On peut voir Omar la Fraise comme une petite chronique sur deux personnages qui ont quitté la France pour aller en Algérie. C’est un peu les chroniques d’Omar et de son meilleur pote en Algérie. À ce...
le 30 janv. 2021
Déjà je voulais parler du réalisateur, car je trouve juste en regardant 5 minutes ce qu'il a fait, ça me fascine. Vous aimez les téléfilms de Noël et bah Justin G.Dyck a fait quasiment que ça...
le 26 avr. 2023
Cet avant-dernier tome a une saveur particulière. Il est différent des autres. Pendant les quatre premiers tomes, Riad était partagé entre la culture de son père et celle de sa mère. Les...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique