La fin d’un monde
Avant d’être un film, Le Guépard est l’unique roman d’un extravagant écrivain. Giuseppe Tomasi, 11e prince de Lampedusa et 12e duc de Palma, et le dernier mâle d’une famille que des biographes...
le 16 mars 2020
75 j'aime
12
Le cinéma italien de cette classe me manque tellement, je sais cela fait un peu vieux con, j'assume.
Je mets 10 à presque tous les films de Visconti, celui-ci 10 +
A voir sur grand écran exclusivement.
Delon et Cardinale sont solaires, Burt Lancaster crépusculaire.
Tout est sublime. La scène du bal un morceau d'anthologie du cinéma.
Visconti et les détails, les tiroirs étaient remplis de linge ou de couverts d'époque, pourtant rarement ouverts.
Une critique magnifique et complète à lire de Docteur_Jivago ici
https://www.senscritique.com/film/Le_Guepard/critique/34968653
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les plus belles claques esthétiques, Les meilleurs films italiens, Les meilleures Palmes d'or et Les meilleurs films avec Alain Delon
Créée
le 10 sept. 2021
Critique lue 37 fois
Avant d’être un film, Le Guépard est l’unique roman d’un extravagant écrivain. Giuseppe Tomasi, 11e prince de Lampedusa et 12e duc de Palma, et le dernier mâle d’une famille que des biographes...
le 16 mars 2020
75 j'aime
12
Quelle claque ! À peine remis de La Dolce Vita de Fellini, voilà Visconti qui me met face à Le Guépard, oeuvre d'une immense richesse, défiant l'épreuve du temps et s'approchant de la perfection,...
le 14 sept. 2015
63 j'aime
17
J'avais envie de jacter de "Apocalypto" de Gibson et je me suis dis non, dis deux ou trois mots sur "Le Guépard" d'abord, ça parle de la même chose : du monde qui bascule. Quand on me parle de cinéma...
Par
le 27 oct. 2013
61 j'aime
13
Un groupe d’extraterrestres de la Guerre froide, des nageurs des années 50, des squelettes, des femmes momifiées et des ravers sculpturaux s’entourent sur scène dans ce clip dément pour « Around the...
le 3 mars 2022
3 j'aime
Bien sûr le film a terriblement vieilli. Mais le message reste, le plus beau métier du monde interprété avec classe par le regretté Sidney qui débusque derrière les sauvageons de l'époque des adultes...
le 9 janv. 2022
2 j'aime
C’était très jolie de dire «bois-moi», mais notre prudence petite Alice n'allait pas ce dépêcher d’obéir. «non, je vais d'abord bien regarder, pensa-t-elle» pour voir s'il y a le mot: poison». Car...
le 21 sept. 2021
2 j'aime