Voir le film
Boarf. La BD était sympa mais sans plus ; je n'attendais pas grand chose de cette adaptation, j'étais simplement curieux ; la réappropriation de l'histoire ne trahit pas trop l'esprit de la BD (depuis mes souvenirs) mais ne l'améliore pas non plus.
Le récit est assez pénible à suivre surtout lorsqu'on connaît la fin ; je ne suis pas sûr que ce soit aussi prévisible que la BD mais il y a clairement quelques éléments un peu gros. Il y a aussi pas mal de chose pas très crédibles, la façon dont les personnages se fâchent, se disputent et tout le tralala, les dialogues n'étant pas très bien écrits. Les personnages manquent de consistance. Les twists sont faciles et minables.
La mise en scène n'est pas vilaine mais le décor ne se prête pas aux intentions visuelles et rythmiques du réalisateur ; j'ai trouvé les séquences dans le couloir à l'étage assez ratées du coup. Le découpage reste efficace, à l'américaine, mais dans un déploiement trop automatique plutôt qu'au service de l'histoire. Les acteurs mettent le paquet, c'en devient un peu surjoué.
Bref, pas terrible.
Créée
le 25 janv. 2023
Critique lue 30 fois
1 j'aime
Ce film de genre aux allures de modeste téléfilm cache plusieurs choses de terriblement génial : un scénario à la construction en dédale dans lequel on vient se perdre et avant tout une excellente...
le 24 oct. 2022
8 j'aime
Ce film est maîtrisé de bout en bout...Et on comprend tout seulement à la fin...Ce qui, de nos jours est rare...Souvent les thrillers psychologiques actuels se veulent tellement mystérieux...qu'on...
le 23 oct. 2022
8 j'aime
2
En quelques années, Timothé Le Boucher est devenu l’un des jeunes auteurs de BD francophone le plus remarqué, et même célébré, grâce à la conjugaison de son élégante – et très neutre - esthétique «...
Par
le 4 déc. 2022
6 j'aime
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
126 j'aime
57
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
125 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
124 j'aime
56
