Balzac superstar du cinéma français sous l'Occupation. La 7ème adaptation, chronologiquement, bien que sortie en 1945. Et elle est bonne 1. Parce que fidélité à l'auteur 2. Parce que mise en scène sobre et coulante comme un bon camembert 3. Parce qu'interprétation remarquable de l'immense Pierre Larquey. Pierre Renoir en Vautrin n'est pas mal non plus alors que Georges Rollin est un peu faible en Rastignac. Globalement, c'est de la belle ouvrage, ma bonne dame.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mon Occupation favorite

Créée

le 7 août 2019

Critique lue 274 fois

1 j'aime

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 274 fois

1

D'autres avis sur Le Père Goriot

Le Père Goriot
Cinephile-doux
6

La septième adaptation

Balzac superstar du cinéma français sous l'Occupation. La 7ème adaptation, chronologiquement, bien que sortie en 1945. Et elle est bonne 1. Parce que fidélité à l'auteur 2. Parce que mise en scène...

le 7 août 2019

1 j'aime

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

75 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

73 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13