Bavards du crépuscule
Alors que Les Deux Tours proposait de réels changements de directions avec la dynamique de La Communauté de l’anneau, le Retour du roi souffre a priori d’une certaine redondance avec le chapitre...
le 28 nov. 2015
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Chaque fois que je revois Le Retour du Roi, je me dis que le cinéma a rarement atteint une telle ampleur. Trois heures (voire plus avec la version longue) qui passent comme un souffle épique, où chaque bataille, chaque regard, chaque note de musique semble taillé pour rester gravé.
La bataille de Minas Tirith, la charge des Rohirrim, Frodon et Sam perdus dans les terres de Mordor… tout est mis en scène avec une maîtrise hallucinante. Et en même temps, Jackson n’oublie jamais l’intime : c’est un film sur l’amitié, le sacrifice, le poids de la destinée. La scène des adieux aux Havres Gris me touche à chaque visionnage, comme si c’était la première fois.
Oui, c’est grandiloquent, parfois excessif, mais c’est ce qui fait sa grandeur. C’est le genre d’œuvre qui ne cherche pas la mesure, mais l’éternité.
Une conclusion magistrale qui ferme une trilogie devenue mythique.
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il y a 5 jours
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