Un beau drame russe qui souffre de quelques longueurs mais propose quelques plans en caméra subjective très modernes pour l'époque.

AlexandreAgnes
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Festival International du Film de La Rochelle (2014)

Créée

le 20 juin 2016

Critique lue 102 fois

Alex

Écrit par

Critique lue 102 fois

D'autres avis sur Le Village du péché

Le Village du péché
Morrinson
6

Féminisme champêtre et soviétique

On peut regretter que Le Village du péché (un titre un peu lourd de sens pour un film qui n'était pas présenté de la sorte dans sa version originale, "Les Femmes de Riazan") n'ait pas extrêmement...

le 21 févr. 2019

3 j'aime

Le Village du péché
Serge-mx
7

Pour Konstantin Kuznetsov

La photographie de Konstantin Kuznetsov emporte d'emblée l'adhésion en faveur de ce drame de mœurs dans un village.La musique extradiégétique, rajoutée après coup, n'apporte rien bien au contraire.

le 3 févr. 2023

1 j'aime

Le Village du péché
Jduvi
7

Dans les pas d'Eisenstein

Film célèbre car premier long métrage russe réalisé par une femme, Le village du péché (titre en français malheureux car le film ne contient aucune référence religieuse) est un manifeste féministe...

le 12 sept. 2019

1 j'aime

3

Du même critique

Au revoir là-haut
AlexandreAgnes
9

On dit décidément MONSIEUR Dupontel !

La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...

Par

le 27 juin 2017

53 j'aime

4

Mektoub, My Love : Canto uno
AlexandreAgnes
4

Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice

Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...

Par

le 27 mars 2018

48 j'aime

19

Arès
AlexandreAgnes
6

Ne pas jeter bébé avec l'eau du bain

Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...

Par

le 24 nov. 2016

43 j'aime