Amour interracial sur les plages des Caraïbes…

Un scientifique étudie le comportement d’une tribu d’indigènes sur une île exotique, lorsque sa femme tombe sous le charme d’une des autochtones et décide de la ramener chez elle…

Le cinéaste italien Joe D'Amato ayant posé ses valises à Saint-Domingue pour y réaliser (à la pelle) d’innombrables films horrifico-pornographiques, tels que Sesso nero (1980), La Nuit fantastique des morts-vivants (1980), ou encore Porno Holocaust (1981), semble avoir trouvé le bon filon, à savoir réaliser des films avec la même équipe technique et surtout, plus ou moins les mêmes acteurs.

Si l’on fait abstraction d’un scénario particulièrement invraisemblable

le film se regarde sans trop de déplaisir bien que l’ensemble ne vol pas très haut

mais sans le moindre talent au niveau de l’écriture ou de la direction artistique).

Contrairement aux précédents (ou les suivants) films qui ont été tournés dans les Caraïbes, Orgasmo nero (1980) est sans nul doute le film le plus soft qu’il ait pu réaliser. Un film érotique où l’on y retrouve la ravissante Lucia Ramirez (elle a tourné dans la plupart des films d’Amato réalisés à St-Domingue), aux côtés du vénérable Richard Harrison (Ninja Terminator - 1985), un acteur qui s’est fait un nom dans d’innombrables nanars et qui se retrouve bien malgré-lui (à coup sûr, il ne savait pas dans quoi il jouait) au coeur de ce film érotique où il n’a pas l’air à son aise (il n’y a qu’à voir les rares scènes où il apparaît dénudé ou complètement à poil).

Orgasmo nero (1980) aussi appelé "Les plaisirs d'Hélène" est typiquement le genre de film qui s’oubliera aussitôt. Les dialogues sont assez sommaires, les acteurs font le minimum syndical et parmi les rares scènes à avoir retenu mon attention, on pourra signaler

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