Max Payne in the ass
Belle direction photo, une volonté manifeste de respecter l'esthétique de la série et quelques plans visuellement enthousiasmant sont tout ce qui sauve Max Payne du naufrage total. Je voulais...
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le 28 mars 2011
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Esthétiquement parlant, le film n'est pas laid. Les codes du polar noir sont respectés : longs manteaux noirs, nuit, pluie, neige, flics dépressifs. Je n'ai pas joué aux deux premiers Max Payne. Seulement au 3 se passant dans les favelas à Rio où l'ambiance est un peu plus chaude. N'empêche, là, ça m'a plu.
Après, ça n'en fait pas une bonne adaptation d'un jeu vidéo pour autant. Je n'ai pas retrouvé les fameux gunfights de la série, les réflexions désabusées de Max sur ce qui l'entoure, la narration en forme de BD.
Ils se tirent un peu dessus à la fin. Encore faut-il avoir la patience d'avoir attendu une heure et de subir, via les hallucinations, des séquences bien nanardes à grand renfort d'effets numériques. Comme celle où Max
absorbe lui aussi ce fameux sérum boostant les capacités physiques de celui qui le prend
Au moins, les power-up, ça colle bien avec l'esprit d'un jeu vidéo à défaut d'être crédible. Si Dan Houser, le scénariste des GTA, Red Dead Redemption et Max Payne 3 avait pu écrire ce Max Payne-là, on aurait eu autre chose. J'en suis sûr.
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le 21 nov. 2020
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