Du pur cinéma
Tout simplement du grand cinéma. Si les deux volets sont réellement différents, ils se complètent parfaitement et le personnage Mesrine, plus complexe qu'on a bien souvent voulu le décrire, est ici...
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le 19 juin 2011
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Après l'échec commercial de son remake pas si mal du "Assaut" de Carpenter, Richet revient en France et rejoint le projet de Thomas Langmann d'adapter la vie de l'iconique gangster français.
Ce premier volet éclaire les années de jeunesse d'un Mesrine pas encore sûr dans un premier temps de la voie qu'il veut suivre, et pas encore politiquement engagé, mais dont le vécu sera déterminant dans la suite de son parcours.
Dans un style enlevé, Richet fait dans l'efficace, sans trop de gras, même si pas transcendant dans l'action, tandis que Cassel incarne un jeune Mesrine nerveux et enclin à une violence incontrôlable.
Le caractère détestable du bonhomme, bien présent dans le film, se voit un peu contrebalancé notamment par la dureté des scènes en isolement au Canada.
Sans être réellement passionnant, le film s'avère distrayant et plutôt bien servi par des seconds rôles bien incarnés.
Finalement, le préambule en forme de flash forward éclaté en plusieurs images est peut-être la meilleure scène du film, augurant d'un second volet plus réussit.
Créée
le 25 avr. 2025
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le 19 juin 2011
25 j'aime
"_Quand je serai grand, je serai Jacques Mesrine. _Belle ambition! Pourquoi? _Ce mec, il a de l'honneur. _Ah oui? Et c'est quoi l'honneur? _Si tu me manques de respect, j'te fume et je nique ta mère...
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