"Un beau mandat... Amanda Lear !"



Mesrine devient un beauf. Cette fois c'est clair : le réalisateur déteste son personnage et décide vraiment de l'humilier. Encore une fois ce n'est pas cela qui permettra de faire comprendre la vie de Mesrine et son écho dans la société française. Et pour donner le change on valide (très grossièrement) la thèse de l'assassinat, seule explication possible de la "martyrisation" posthume de Mesrine.


(Copie de mon ancienne critique sur Allociné)

Ashtaka
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le 23 juin 2015

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Ashtaka

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