Dyane Kurys évoque un couple mythique dont l'intimité est décortiquée pendant une dizaine d'années. La scène d'ouverture est judicieuse et évite de plonger directement dans le biopic stéréotypé. Ce film est touchant et remarquablement incarné. La reconstitution de l'époque est réussie. Les dialogues sont authentiques et intenses. Roschdy Zem est certes bluffant mais Marina Foïs interprète magistralement Simone Signoret, icône du cinéma écorchée, femme libre et engagée, manipulée par Yves Montand qu'elle a dans la peau malgré ses escapades et mensonges permanents. Le scénario est toutefois trop séquencé.
Créée
le 6 oct. 2025
Critique lue 3 fois
Comment filmer un mythe ? En captant son âme, pas son apparence. Dans Moi qui t’aimais, Diane Kurys esquisse le portrait de Montand et Signoret à travers le prisme de leurs dernières années, alors...
le 5 oct. 2025
5 j'aime
9
Le film commence mal car la scène d'ouverture est une mise en abîme où on voit les deux acteurs principaux entré dans la peau de leur personnage, ce qui n'aide pas pour plonger dans un biopic...
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le 1 oct. 2025
4 j'aime
1
La génération qui a eu 20 ans, un peu moins ou un peu plus, au moment de la parution de La nostalgie n'est plus ce qu'elle était et, dans les mêmes années, de la sortie de La vie devant soi, a...
le 1 oct. 2025
4 j'aime
En un seul plan-séquence judicieusement cadré et rythmé, ce film est remarquable. Spectacle dans la salle, dans les coulisses et sur la scène, les derniers moments imaginés de Molière sont construits...
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le 14 févr. 2024
16 j'aime
Si la reconstitution de l'époque est correcte, le scénario laisse à désirer et le jeu d'acteurs n'est pas à la hauteur de l'enjeu. L'interprétation des rôles principaux est consternante. C'est...
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le 9 mai 2023
9 j'aime
Ce film est important, puissant et bouleversant sur le parcours de souffrance des migrants. Les conditions de migration sont représentées avec un réalisme rude et effroyable, trop méconnu. En...
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le 9 janv. 2024
8 j'aime
