Bondo-san
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Dès le début, avec la scène du sous-marin, on sait qu'on est entrée en terre de n'importe quoi. Et pour moi (à part Bons baisers de Russie), c'est quand elle fait n'importe quoi et mal que la licence James Bond est à son meilleur. C'est d'ailleurs cet épisode, avec Blofeld et son chat, avec la base cachée dans un volcan, qui a durablement marqué ce qu'est la formule James Bond. Il faut dire que la bande originale est une des plus marquantes.
Par sa bêtise, sa kitscherie, son rythme anormalement lent et son sexisme difficile à imaginer en 1967, On ne vit que deux fois a quelque chose d'exceptionnel dans la série des James Bond. La scène de la présentation de l'école des "ninjasses" est restée aussi ridicule que dans mon souvenir. Et que dire de la "transformation en Japonais" de Bond ?
A regarder obligatoirement en VF, pour avoir droit aux doublages "petit chinois".
Créée
le 8 août 2019
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