Compte sur Dieu, parce que moi je ne pardonne pas !

Après Drive, Winding Refn essaye de recomposer la formule magique à base de Ryan Gosling et de regards langoureux. Dommage, le bleu de Los Angeles lui va mieux que le rouge de Bangkok.

Car oui monsieur, de belles images ne suffisent pas à combler les lacunes d'un film qui se veut métaphysique, mais qui est surtout rempli... de vide.
Mlle_lee
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le 26 mars 2014

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Mlle_lee

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