Le bras armé du samourai face aux vices de l'époque,
la morale qui fait de nous des êtres civilisés face à la bestialité sans retenu, ni vertu.
La réalité qui dérange menant les faibles à détourner les yeux plutôt qu'à l'affronter
et au milieu, les bras près du corps et le regard grisatre, la tentation pouvant être assouvis en quelques pas,
un homme conscient de sa sphère, autant externe qu'interieure mène une lutte malsaine que l'on comprendra peu à peu.
Son esthetique aussi cauchemardesque qu'érotique et son aura mystique font de "Only god forgives" une réussite visuelle et sensorielle mais à la mise en scène un brin arty.