Un fragile funambule au bord d'un vide où se dispersent les fragments d’un passé perdu. Anders cherche sa résilience. Spleen de la jeunesse et destructivité.

cathVK44
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2011 et Joachim Trier et l'exploration de la psyché.

Créée

le 11 août 2024

Critique lue 8 fois

1 j'aime

cathVK44

Écrit par

Critique lue 8 fois

1

D'autres avis sur Oslo, 31 août

Oslo, 31 août
emmanazoe
9

L'impression d'avoir rencontré quelqu'un...

Oslo, 31 août n'est pas un moment de cinéma comme un autre. Tout d'abord, rien que son titre, son affiche (très belle affiche !), et sa bande-annonce suggèrent un film assez énigmatique. Qui sait...

le 27 avr. 2012

117 j'aime

16

Oslo, 31 août
Sergent_Pepper
8

Comment vous dire adieu

S’il fallait résumer Oslo, 31 aout, on pourrait le décrire comme un film qui ne cesse de finir. Dès sa première séquence, celle d’un lent suicide raté, c’est l’adieu au monde qui prévaut, tout comme...

le 24 sept. 2015

113 j'aime

5

Oslo, 31 août
PatrickBraganti
10

Mélancolie norvégienne

Pour filmer vingt-quatre heures de l'existence de son héros qui a tout d'une non-vie, le norvégien Joachim Trier met à profit dans Oslo, 31 août son expérience d'ex-champion de skateboard puisqu'il y...

le 3 mars 2012

100 j'aime

11

Du même critique

Tatami
cathVK44
8

Sur le tatami, cheveux dénoués, le cri de la liberté: Uchi mata !

Deux femmes iraniennes prises dans une menaçante tourmente géopolitique. Sur le tapis, cheveux dénoués, le cri de la liberté. Uchi-mata.Un film en noir et blanc aux allures de thriller. Haletant,...

le 10 sept. 2024

14 j'aime

Valeur sentimentale
cathVK44
8

La maison familiale : une histoire de silences, de manques, d’exclusion et naturellement, d’amour.

À l’image des territoires intérieurs de la famille et de ses relations complexes, leur maison transmet en héritage, manques et des non-dits, secrets et tragédies. Au fil des générations, entrelaçant...

le 21 août 2025

13 j'aime

The Insider
cathVK44
8

L’espion qui m’aimait.

Entre mensonges, soupçons, faux semblants et manipulation, Soderbergh fait de la table à manger conjugale une mécanique de guerre sophistiquée. Cinq noms figurent sur une liste. Un traitre, une taupe...

le 14 mars 2025

11 j'aime

2