Noir, c'est noir
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Me voilà de retour après une longue période de vacances que j'estimais bien méritée. Je reprends en douceur avecun avis sur un court-métrage du cinéaste belge Fabrice du Welz. Réalisateur que je découvre avec ce court et qui pose les bases de ce que sera son cinéma.
Ce que l'on peut retenir de Quand on est amoureux, c'est merveilleux, c'est une ambiance évidemment très particulière (j'ai un peu pensé au niveau de la boucherie à la Cité des enfants Perdus de Jeunet), et une relation amoureuse quelque peu détraquée entre des personnages qui ne le sont pas moins. Du Welz est un cinéaste du bizarre et il le démontre donc très rapidement dans sa carrière.
Le gros inconvénient de ce court, c'est que le cinéaste se concentre plutôt sur l'ambiance que sur le fond. Ce qui donne un scénario réduit à sa plus simple expression et qui démontre également très rapidement ses limites. Et l'ennui fini finalement par poindre le bout de son nez en fin de court.
Des bases sont posées de ce que sera la carrière du cinéaste, mais c'est clair qu'il faudra voir un long-métrage pour comprendre le potentiel (ou non) que possède Du Welz.
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Créée
le 20 juil. 2016
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