Vous connaissez le principe des marques. Une marque renommée a toujours une bonne réputation et cela fait toujours "bien" de l'utiliser. C'est sûr que d'avoir un aspirateur Dyson c'est mieux qu'un Proline.
Dès lors, ces marques peuvent se permettre de monter leurs prix. De toute façon, ça plaira, ça se vendra.
Pour le cinéma, c'est pareil. Une entreprise de renommée comme Disney sait pertinemment que ça plaira. Disney sait pertinemment qu'elle fera vendre.
Dès lors, elle peut se permettre de se reposer sur ses bases solides, sans se risquer.
Elle l'a prouvé avec "La princesse et la grenouille", elle continue avec Raiponce.
On obtient donc un produit sans surprise : Une histoire romantique entre un voleur et une princesse, qui finit bien, la méchante perd, les amis sont tous heureux etc. On a des péripéties habituelles dont le vieux principe de "Oh il est mort ! Mais non il est pas mort !".
Au final, heureusement que John Lasseter était à la production. Ainsi on reconnaît de temps à autre la patte Pixar qui vient ajouter des détails non négligeables qui m'ont faire sourire et rire.
Et, à l'insu du film, l'une des dernières phrases m'a aussi fait marrer : "La suite, vous pouvez l'imaginer...". Oui eh bien comme tout le film dès le départ en fait.