le 29 mars 2018
The grateful eighties
Le blockbuster a toujours indexé sa hype sur les évolutions technologiques : en essayant d’en mettre plein les yeux à son public, les équipes ont révolutionné d’abord d’inventivité, puis de moyens,...
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La plus grande faiblesse de Ready Player One est paradoxalement le cœur de son sujet : la pop culture. C'est un film qui célèbre la nostalgie et l'ensemble de la culture geek, mais qui souffre visiblement des problèmes de droits. Il est bien dommage que pour une œuvre se voulant si exhaustive, il manque l'intégralité du catalogue Disney, incluant Marvel et Star Wars, qui sont des piliers incontournables de la culture pop mondiale.
Cette absence limite considérablement le champ des références et gâche l'expérience en brisant l'illusion d'un monde où toute la culture est accessible. De plus, cela oblige le film (produit par Warner Bros.) à se reposer sur des franchises maison moins universellement connues en France, comme l'excellent mais plus niche Géant de fer, diluant ainsi l'impact.
Ce manque est d'autant plus criant que le film Free Guy (produit par Disney), qui n'est pourtant pas centré sur la pop culture, a réussi en une seule scène de quatre minutes à la fin du film à intégrer des références Star Wars et Marvel avec un impact plus fort que tout Ready Player One, comme s'il s'agissait d'un clin d'œil direct aux limites de son prédécesseur.
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il y a 3 jours
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