Russell Mulcahy (qui sortait de l'échec de Highlander II), Joel Silver, le scénariste de Piège de Cristal Steven E. de Souza, le déjà charismatique Denzel Washington même avec une moustache, la promesse d'un bon film d'action ? Non, s'il y en a, c'est plutôt sur le terrain de la vengeance pure qu'il faut positionner Ricochet. Où comment un jeune flic aux dents longues se retrouve pris dans une véritable descente aux enfers avec sa famille.
J'ai toujours trouvé Russell Mulcahy fortement sous-estimé. Et je reste persuadé qu'il aurait pu avoir une autre carrière. Avec son grand sens visuel (il y a des plans sous la pluie de toute beauté), il arrive à livrer un thriller violent, malsain (la scène du bar SM, Denzel qui se fait violer par une pute et refiler la chaude-pisse), avec un pur psychopathe qui va s'acharner à détruire la vie de ce procureur adjoint.
On passera sur quelques raccourcis, facilités ou autres séquences grotesques (le combat dans la prison avec une armure faite avec des annuaires qui rappellera forcément Highlander).
Créée
le 7 juin 2025
Critique lue 5 fois
Los Angeles 1983, Nick Styles (Denzel Washington) jeune recrue de la police, intervient de façon courageuse et spectaculaire lors de l’arrestation du psychopathe Earl Talbot Black (John Lithgow),...
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le 30 avr. 2020
4 j'aime
1
Seul la présence de Denzel Washington rehausse ce très mauvais polar aux situations souvent grotesques ; John Lithgow en fait des tonnes. La mise en scène de Russell Mulcahy est ici sans saveur.
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le 18 juil. 2015
3 j'aime
La partie la plus intéressante de Ricochet réside dans la violence psychologique infligée à son protagoniste principal qui voit son univers perdre les étoiles durement acquises l'une après l'autre...
le 20 oct. 2018
2 j'aime
Marche à l'ombre est assez proche de Viens chez moi, j'habite chez une copine. La présence de Michel Blanc bien sûr. Mais les thématiques sont similaires. Chômage, précarité, crise du logement,...
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le 8 nov. 2015
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Les Tontons flingueurs marquent la première collaboration entre Lautner et le dialoguiste Michel Audiard et le début d'une trilogie qui s'est poursuivie avec Les Barbouzes et Ne nous fâchons pas. Il...
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le 23 nov. 2013
11 j'aime
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Lorsque Fernandel tourne ce film, il n'a plus tourné depuis deux ans. Il se dit marqué par le décès de son copain Bourvil. Vous l'avez deviné, on n'est pas ici dans la grosse comédie. Le comique...
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le 11 janv. 2015
10 j'aime
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