D.O.R.(A) l’exploratrice.

Nous sommes au mois de Mars 2094, au 87e jour solaire, d’où le titre du court-métrage. Un petit robot, D.O.R.(A), qui est un robot féminin selon le commandant James, explore en solo le sol de la planète afin de le cartographier. Elle analyse l’environnement et enregistre les images avec sa caméra.

D.O.R.(A) avance et tombe sur une zone inconnue. Elle commence à explorer et cartographier quand soudain quelque chose bouge à proximité. C’est là qu’on va voir si c’est un bon ou un mauvais robot explorateur. Vous savez comment on distingue les deux ?

Un bon robot explorateur, quand il voit des cailloux bouger à proximité, il va voir ce qui se passe, alors qu’un mauvais robot explorateur, quand il voit des cailloux bouger à proximité, il va voir ce qui se passe.

Bref, des cailloux bougent. Elle va voir, et là, ça va couper chérie, paf pastèque, l’image se coupe et… mais que se passe-t-il ? Nous le découvrirons plus tard quand…

Le commandant James, n’ayant plus de nouvelle de D.O.R.(A), prévient dans un message enregistré, qu’il part à sa recherche, avec R.E.X, afin de la ramener à la base. Que vont-ils découvrir ? D.O.R.(A) est-elle cachée, est-elle en sûreté ?

Un court métrage qui est assez prévisible sur certains points (sa résolution notamment), mais qui est tout de même agréable à regarder. J’imagine que les robots explorateurs seront quand même plus évolués en 2094 que ceux que l’on voit dans le film, qui sont tout de même assez mignons.

Le seul suspense du film réside dans ce qu’on va découvrir des images enregistrées par D.O.R.A et ce qu’il va advenir de chacun des protagonistes du film, robots compris. Un court-métrage à caler entre deux films ou si vous avez dix minutes à tuer avant de partir au boulot, par exemple.