Star(fighter) des années 80
Toute ressemblance avec des évènements, des personnages ou des situations ayant pu exister serait purement fortuit...
Ainsi, il serait franchement déplacé de voir dans le "May the luck of the seven pillars of gulu be with you" une resucée du "May the force be with you". Tout le monde le sait: en may, fait ce qu'il te plait. Alors pas de mauvais esprit.
Oui, on ne peut pas nier que l'orchestration du Starfighter du jour évoque vaaaaaaaaguement le John Williams version Indy. Mais (may?) ne dit-on pas que les grands esprits se rencontrent...
Bon, c'est pas totalement faux de voir dans la voiture spatiale une carlingue de Dolorean. Mais le Zemeckis n'est sorti que dix jours plus tôt. Alors pas de remarque genre "il y en a un qui a fait un tour sur le plateau avec Michael J. Fox"...
Le seul souci avec ce film (et le tort en revient exclusivement au réalisateur), c'est que je l'ai vu vingt-cinq ans trop tard. Gamin, j'aurai surkiffé cette histoire mêlant jeux vidéo, dogfights interstellaires et mobile-home. Et le fait que le Nick Castle qui a commis cette gentille bouse fut par ailleurs scénariste de "New York 1997" ne peut que rendre le bonhomme qu'éminemment sympatoche.