Le triomphe en 1977 de La fièvre du samedi soir de John Badham appelait fatalement la réalisation d’une suite. L'étoile filante John Travolta avait bien besoin d’un petit coup de pouce pour relancer sa carrière qui battait déjà sérieusement de l’aile au début des années 80.
Si le film de Stallone est plus que moyen, reste le rôle de Tony Manero que l on retrouve intact et plus mature
Attention mesdames vous allez vous pâmer sur son corps magnifique avec cette démarche langoureuse et son déhanchement perpétuel. Vraiment il a pris du galon et c est un plaisir de le revoir ainsi
Attention la dernière séquence du film vaut le détour !
Il n'arrête pas de danser Johnny !

Chicago
5
Écrit par

Créée

le 18 mars 2017

Critique lue 436 fois

Chicago

Écrit par

Critique lue 436 fois

D'autres avis sur Staying Alive

Staying Alive
CeeSnipes
7

100% Stallone

La Fièvre du Samedi Soir est un chef d’œuvre incompris, un grand film sur la jeunesse 70’s à Brooklyn, dans un autre genre que les films de Scorsese par exemple, moins centré sur les gangsters et...

le 28 déc. 2012

4 j'aime

5

Staying Alive
Caine78
4

Critique de Staying Alive par Caine78

Pour être honnête, j'ai mis quelques minutes à comprendre que « Staying Alive » était la suite de « La Fièvre du samedi soir », l'ignorant totalement avant de commencer. Résultat : un film d'une...

le 21 avr. 2018

2 j'aime

Staying Alive
Boubakar
5

Dancing King.

Je l'avoue : j'ai freiné des quatre fers avant de voir ce film, le dernier que je n'avais pas vu de Stallone réalisateur. C'est plus à cause de sa réputation sulfureuse que je ne voulais pas le...

le 14 mars 2014

1 j'aime

Du même critique

Delphine et Carole, insoumuses
Chicago
8

Un vrai combat bien avant Me Too

"C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux amoureuses de l’image, l’actrice Delphine Seyrig et la vidéaste Carole Roussopoulos. Quelques mois avant sa mort (en 2009), celle-ci décide de faire...

le 31 janv. 2020

9 j'aime

1

Un peu de soleil dans l'eau froide
Chicago
9

Une femme admirable et bouleversante

Inconnue, elle était ma forme préférée, Je n’avais pas le souci d’être un homme, Et, vain, je m’étonne d’avoir eu à subir Mon désir comme un peu de soleil dans l’eau froide. Paul Eluard. Lassé de sa...

le 6 déc. 2015

8 j'aime

L'Été en pente douce
Chicago
7

L'été meurtri !

"L'été en pente douce" est plus un film d'atmosphère que d'autre chose. Ici, pas de scénario poussé très loin, pas de grandes intrigues. Mais tout y est juste, la jalousie, la bêtise, la rivalité, la...

le 3 sept. 2016

8 j'aime