le 14 janv. 2011
Rien de pervers ou presque
Un philosophe réputé décortique des films populaires en s'appuyant sur des analyses de séquences. Contredisant bien souvent les interprétations populaires qui en avaient été tirées, Zizek revient,...
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Sympa.
Cela manque parfois de fluidité entre les sous-thèmes, la structure est trop décousue, il manque aussi une thèse plus clairement énoncée (on a l'impression d'entrer en retard dans une classe où le professeur a déjà commencé à expliquer des choses, il manque donc une intro pour donner plus de liant et de cohérence à ce que l'on voit). Ceci étant dit, le philosophe s'attaque à ses thèmes habituels, ici le désir et la réalité entre autres, celui qui le connaît ne sera donc pas trop décontenancé tandis que le newbie se fera vite au rythme, à l'humour et aux démonstratiosn de l'intellectuel. C'est globalement intéressant même si c'est un peu long. Les théories émises par l'auteur sont assez intéressantes.
La mise en scène est ludique : la réalisatrice et le philosophe s'amusent à reconstituer des décors en rapport avec les films analysés, cela permet d'alimenter, d'enrichir les décors, sans rien perdre du discours. Les extraits sont bien choisis. Les interventions sont passionnantes.
Bref, ça se regarde bien.
Créée
le 13 oct. 2024
Critique lue 21 fois
le 14 janv. 2011
Un philosophe réputé décortique des films populaires en s'appuyant sur des analyses de séquences. Contredisant bien souvent les interprétations populaires qui en avaient été tirées, Zizek revient,...
le 13 oct. 2024
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le 2 mai 2020
Vu les parties 1 et 2. C'est un peu foutraque, avec des regards plutôt pertinents par moment, et des passages incompréhensibles (mais bon, c'est un lacanien). Il est à noter que Zizek utilise pas mal...
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le 3 janv. 2016
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