The Phantom Light par Alligator
Encore un quota-quickie sur lequel Powell s'est fait la main. Après avoir vu Red Ensign, je pense pouvoir dire que mon estime pour Powell ne me fera plus tenter le coup sur ce genre de moyen-métrage dont les scénarii sont d'une rare médiocrité. Le film dure 1h12, mais parait ne pas finir. Mou du genou comme on dit. Malgré le fait que le récit se base une intrigue mystérieuse censée engendrer le suspense.
A part quelques éléments très powelliens comme la présentation des décors avec de beaux paysages du Pays de Galles, ainsi qu'un humour clin d'oeil sur le folklore local et des personnages très pittoresques (la vieille à la gare ou les oeillades du gros policier avec la grosse barmaid), le film est par moments d'une lourdeur éléphantesque.
Un film où il faut véritablement partir en expédition pour retrouver le ciné de Powell.