Comme dans Emilia perez, Cannes préfère voir les queers racisé.e.s mort.e.s.
Ce n’est pas une romance mais une relation d’emprise entre une mineur et quarantenaire.
J’aurais beaucoup à dire mais je résumerais mon propos par le fait sue ce film n’est qu’une projection d’un HBHC sur ce qu’il appelle un « couple »lesbien pauvre et racisé.

Evitez vous du trauma dump pendant deux heures.

CharleneHfr
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le 21 mai 2025

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Charlène Hfr

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