« ça c’est un ptéranodon, un dinosaure volant ! »

Trois individus sont poursuivis, dans la forêt, par quelque chose qui semble vraiment très méchant. Un ours en colère ? Tata Jeannine qui est furieuse et qui grogne parce qu’ils n’ont pas aimé sa soupe au potiron ? Nous saurons répondre à cette interrogation plus tard… Ils finissent tout de même par trouver refuge dans le château d’eau du coin.

Retour 24 heures plus tôt dans u contexte de manifestation. La population n’est pas d’accord avec le projet d’expansion de l’Université, Dakota en tête. Ce dernier est un indien Cowichan. Le soir, il va dans un musée, dédié à la culture de son peuple, et passe sa colère à coup de batte de baseball sur les vitrines. Il finit par tomber sur un vieux livre poussiéreux. Il finit par faire des incantations, en jouant du tambourin et en chantant comme Kendji Girac et… ça réveille des dinosaures fossilisés qui vont aller semer la terreur en ville.

Ce n’est évidemment pas un chef d’œuvre, comme on peut s’y attendre dès qu’on lance la lecture du film. Pas de surprise, les acteurs, l’histoire, les dialogues, et les effets spéciaux sont assez indigestes.